“En présence d’un malade, on pense par­fois : « Appelons le prêtre pour qu’il vienne » ; « Non, cela portera mal­heur, ne l’appelons pas », ou encore « Le malade va pren­dre peur ». Pourquoi pense-t-on cela ? Parce que l’on a un peu l’idée qu’après le prêtre arrivent les pom­pes funèbres. Et cela n’est pas vrai. Le prêtre vient pour aider le malade ou la per­son­ne âgée ; c’est pour cela que la vis­ite des prêtres aux malades est si impor­tante. Il faut appel­er le prêtre au chevet du malade et dire : « Venez, don­nez-lui l’onction, bénissez-le ». ”
Pape François.

Le souci des pau­vres et des malades est une néces­sité pour tout chré­tien. Jésus lui-même nous invite à le voir dans le plus petit de nos frères : “Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. ” (Mt 25,40).

Le sacre­ment des malades s’adresse à tout fidèle se trou­vant dans un état de san­té grave. Il est pos­si­ble de le recevoir plusieurs fois. Le rite essen­tiel con­siste dans l’onc­tion d’huile faite sur le front et sur les mains du malade.
Pour le recevoir, pren­dre ren­dez-vous avec le curé.

Qu’est-ce que l’onction des malades ?

Prendre rendez-vous avec le curé